Presseschau: Google, Facebook & Co vor dem LuxLeaks-Ausschuss

Die Presse berichtet über die Forderung das Mandat des Sonderausschusses "Steueroasen" zu verlängern

16.11.2015

Am Montag, den 16.November 2015, wurde im Sonderausschuss Steueroasen (TAXE) elf Konzerne von Amazon über Starbucks bis Walt Disney angehört. Die Konzerne lieferten teils ausweichende, teils haarsträubende Erklärungen für ihre Steuervermeidungsstrategien.

Die Linksfraktion im Europaparlament fordert daher schon seit Monaten das Mandat des Sonderausschusses zu verlängern, um eine umfassende Aufklärung zu ermöglichen. In mehreren Pressemitteilungen wie zuletzt in der gemeinsamen Pressemitteilung zusammen mit Michael Theurer (ALDE) und Sven Giegold (Green/EFA) forderte Fabio De Masi eine Weiterführung des Sonderausschusses. Über die Anhörung im Ausschuss und die Forderung einer Weiterführung des Sonderausschusses berichteten mehrere nationale und internationale Medien, u.a. der Tagesspiegel.

Neues Deutschland 18.11.2015

"[...] Die Koordinatoren der Fraktionen in Brüssel haben sich indes am Montag darauf geeinigt, das Mandat des Sonderausschusses um sechs Monate zu verlängern, das Ende November sonst auslaufen würde. »Dies ist ein Erfolg unseres Drucks auf die Parlamentsmehrheit«, kommentierte der LINKE-Europaabgeordnete Fabio De Masi diese Vorabentscheidung gegenüber »nd«. Zusammen mit Vertretern der Grünen und Liberalen hatte sich seine Fraktion dafür stark gemacht. »Nun muss das Parlament endlich an die politische Verantwortung der Paten des Steuerkartells in der EU wie Kommissionspräsident Juncker und Eurogruppenchef Dijsselbloem heran«, so De Masi."

Der Artikel "Konzerne sagen in Brüssel aus" kann auf der Homepage des Neuen Deutschlands kostenpflichtig in voller Länge abgerufen werden.

Der Tagesspiegel 16.11.2015

"[...]

"Die Aufklärungsarbeit des Ausschusses ist noch nicht beendet", stellten der Liberale Theurer sowie der Grüne Sven Giegold und der Linke Fabio De Masi am Freitag in einer gemeinsamen Pressemitteilung fest und plädierten für eine Mandatsverlängerung, über die am kommenden Donnerstag die Fraktionschefs entscheiden. Man habe zwar schon sehr vieles über die Systematik der Steuervermeidung in Europa in Erfahrung bringen können, doch "ließ sich bisher nicht klären, wer die politische Verantwortung für ein jahrzehntelanges Steuerdumping in zahlreichen Mitgliedstaaten der Europäischen Union trägt". Zumindest Juncker und Dijsselbloem sollen noch einmal vom Ausschuss vernommen werden.

Möglicherweise deshalb ist die Verlängerung, die Liberale, Grüne und Linke schon lange fordern, bis zuletzt umstritten gewesen. [...]"

Der Artikel "Den Großen auf der Spur" von Christopher Ziedler im Tagesspiegel vom 16.11.2015, kann in voller Länge auf der Webseite des Tagesspiegels gerufen werden. Der fast identische Artikel erschien ebenso in der Druckausgabe der Stuttgarter Zeitung vom 17.11.2015 erschienen.

Paperjam 19.11.2015

"La Conférence des présidents, qui organise le travail des eurodéputés, a remis à plus tard la décision de prolonger le mandat de la commission spéciale taxe. Un coup des conservateurs et des sociaux-démocrates, s’insurge l’Allemand Fabio De Masi.

Réunie ce jeudi avec à son menu la formalisation de la poursuite du mandat de la commission spéciale taxe, la Conférence des présidents a remis sa décision à plus tard, à la fureur de l’eurodéputé allemand de Die Linke, Fabio De Masi, qui y voit des manœuvres des groupes du PPE et des sociaux-démocrates pour entraver les travaux de cette commission mise en place après les révélations des LuxLeaks. [...]

Le groupe GUE/NGL (La Gauche) au Parlement européen avait réclamé lundi dernier que l’assemblée plénière du Parlement européen adopte la semaine prochaine un rapport intérimaire au lieu d'un rapport définitif sur les rescrits fiscaux pour permettre à la commission taxe de continuer son travail, voire que son mandat soit approfondi. Fabio De Masi a aussi demandé que le président de la Commission européenne et ancien Premier ministre luxembourgeois, Jean-Claude Juncker, et le Premier ministre néerlandais, Jeroen Dijsselbloem, soient auditionnés, pour entre autres s’expliquer sur le blocage qu’ils auraient exercé, selon la presse internationale, sur les avancés des travaux du Code de conduite au sujet de la fiscalité de la propriété intellectuelle. [...]"

L'article "Interrogations sur la suite du mandat" de Véronique Poujol est disponsible sur la site web de Paperjam.

Le Monde 17.11.2015

"«Vous pouvez raconter des histoires de Père Noël à Noël, mais ici il faut dire la vérité!», s’exclame l’eurodéputé allemand Fabio De Masi, membre du parti de la Gauche européenne (gauche radicale). «Vous, représentants de Google et de Facebook, dites-nous ce qu’il en est de vos sociétés aux Bermudes et aux Caïmans! Cela a un impact sur les impôts payés en Europe!», renchérit l’élu vert allemand Sven Giegold, appuyant là où ça fait mal.

Point d’orgue des travaux de la commission spéciale «taxe» du Parlement européen créée à la suite du scandale LuxLeaks de novembre2014, l’audition de onze grandes multinationales suspectées d’évasion fiscale (Google, Facebook, Amazon, Coca-Cola, McDonald’s, Ikea, HSBC…, un record!), lundi 16novembre, n’a pas eu, du fait des attentats de Paris, le retentissement escompté par ces élus. [...]"

L'article "Les as de l’optimisation fiscale sur le gril" de Anne Michel et Cécile Ducourtieux est disponsible sur la site web de Le Monde.

EU Observer 17.11.2015

"[...] Left-wing German MEP Fabio de Masi for example, wanted to know if the companies pay tax advisers a fee that is proportional to the amount of tax that was avoided. But Google's senior director of public policy and government relations, Nicklas Lundblad, did not answer the question. Instead, he stated in general terms that it is “good practice to use advisers” to make sure Google complies with local tax laws.

Even when pressed to ask De Masi's question, Lundblad simply ignored the question and said only what he had apparently wanted to say. Google was also asked why it has a subsidiary company in Bermuda.

In his answer about “the Bermuda situation," Lundblad said that the Bermuda subsidiary is used to temporarily park money before investing it, instead of receiving it as profit in the United States and be forced to pay corporate tax over it. “It defers only US tax. So it does not actually affect any tax paid in the EU,” said Lundblad. Facebook's Delphine Reyre made a similar argument about the fact that Facebook has a subsidiary in the Cayman Islands. [...]"

The full article "Multinationals deny wrongdoing EU in tax hearing" by Peter Deffer is avaible at EuObserver.com. The identical article was published at Europa-NU.nl

Paperjam (Luxemburg) 16.11.2015

"[...] «En raison de la pression continue, il existe maintenant une large majorité pour une extension, probablement de six mois et avec vraisemblablement un mandat revu», indique le député allemand de Die Linke Fabio De Masi, qui fut, avec le groupe des Verts, l’un de ceux qui ont poussé à la poursuite des travaux de la commission spéciale, mise en place au lendemain des révélations de l’affaire LuxLeaks. [...]

Rapporteur «fantôme» de la commission spéciale, Fabio De Masi veut aller encore plus loin dans l’accès par les représentants du Parlement européen aux documents détenus par le Conseil européen, la Commission européenne et certains États membres de l’UE dont le Luxembourg, sur les pratiques fiscales dommageables.

L’eurodéputé souhaite d’ailleurs réinviter les représentants des entreprises multinationales qui n’ont pas répondu de manière satisfaisante lors des auditions sur leurs pratiques fiscales. Il voudrait aussi convoquer devant les parlementaires européens une nouvelle fois Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne et ancien Premier ministre du Luxembourg, et entendre également le Néerlandais Jeroen Dijsselbloem, qui avait remplacé Juncker à la tête de l’eurogroupe. [...]"

Lirez l'article complete sur le site internet de Paperjam.

Politico.eu 16.11.2015

" [...] The companies have been asked to provide by the end of the week written statements about their working relationships with financial consultancies such as PricewaterhouseCoopers and Ernst & Young. Several MEPs, including far-left German Fabio De Masi, said many firms did not give satisfactory answers about their dealings with financial advisors.

Asked about its lobbying activities, Amazon said it does have a small lobbying operation in Brussels, but the main focus of its lobbying activities is on the digital single market, a priority of the European Commission.

Facebook also confirmed it carries out lobbying activities in Brussels. Google has over the past year expanded its lobbying operation in Brussels and now has nine full time lobbyists dealing with the EU institutions. [...]"

The full article "MEPs give digital firms hard time on tax"  by Quentin Aries is avaible at Politco.eu.